Après plusieurs années de hausses, les greffes d’organes ont diminué en France en 2010, faute de donneurs !
Comment devenir donneur d’organes ?
Signaler à ses proches sa volonté d’être donneur d’organes
Pour encore plus de facilité, porter sur soi une carte de donneur d’organes
Préciser à ses proches sa volonté d’exclure du prélèvement un ou plusieurs organes
Qui peut-être donneur d’organes ?
Donner un organe de son vivant :
Le donneur et le receveur doivent être compatibles
Le donneur doit être volontaire (sans avoir subi de pression de l’entourage) et conscient des enjeux et risques de l’opération
Le donneur doit être un parent, un frère, une sœur ou un enfant du malade en attente de greffe. Depuis 2004, la loi bioéthique permet aussi de prendre en compte les grands-parents, les oncles et tantes, les cousins germains, le mari ou la femme, ou toute personne vivant depuis au moins deux ans avec le malade.
Donner un organe en état de mort encéphalique :
L’état de mort encéphalique est irréversible, c’est l’arrêt de toute activité cérébrale.
Les grandes fonctions de l’organisme sont maintenues par une circulation sanguine et une assistance ventilatoire et un maintien du corps à température pour une bonne conservation des organes.
Tout le monde est donneur potentiel sauf si on s’y est formellement opposé en s’enregistrant au registre national du refus ou en le spécifiant clairement à sa famille.
Le manque de connaissance du choix de chacun au sein de sa famille entraine une diminution du don d’organes. Aujourd’hui, près d’un prélèvement possible sur trois est refusé faute de communication.
En savoir plus sur le don d’organes