La perte et la prise de poids suivent une logique comptable (sauf pathologies graves).
Les entrées (alimentation) doivent correspondre aux sorties (dépenses énergétiques) pour rester stable.
La principale erreur est souvent de ne pas compenser les écarts alimentaires par une activité physique supplémentaire. Un repas particulièrement riche devrait par exemple être « digéré » par 1 heure d’activité physique supplémentaire.
De même, une hydratation régulière permet de mieux nettoyer le corps en aidant les reins dans leur rôle filtrant. Boire beaucoup d’eau n’est pas un souci car elle s’élimine , fluidifie le sang et aide les régimes hypocaloriques.
Boire insuffisamment est un risque car le corps aura des difficultés à éliminer les toxines de l’organisme.
Le mode de vie recèle aussi des causes de déséquilibre plus ou moins durables:
- le tabac coupe naturellement la faim et son sevrage provoque le grignotage
- ménopause, grossesse, sédentarité passagère, changements de rythmes de vie ont aussi un effet néfaste sur les entrées/sorties de l’organisme
Une privation alimentaire prolongée fait perdre de la graisse mais aussi du muscle. la fonte musculaire réduit le métabolisme de base qui définit ce que consomme le corps. certes on maigrit mais on crée des conditions telles que le moindre écart fera regagner du poids. Il ne faut pas non plus oublier l’impact psychologique de repas pauvres en quantités et souvent en goût …