Quand une personne croit son conjoint infidèle, elle ne recule généralement devant rien pour dénicher la preuve qui confirmera ses soupçons : surveillance du téléphone, intervention d’un huissier ou d’un détective privé, contrôle des divers déplacements…
Au Mexique, les choses vont encore plus loin. Des chercheurs proposent désormais aux couples une recherche d’ADN, afin de vérifier si l’un des conjoints est infidèle. Ainsi, une personne qui pense être victime d’un adultère peut envoyer à un laboratoire des effets personnels de son conjoint, qui peuvent être porteurs de sperme, de salive, de poils ou de cheveux. Le laboratoire examine alors si l’ADN correspond à « la victime », son conjoint ou une tierce personne. Ces tests semblent semer le trouble chez les couples car les demandes augmentent chaque jour. Ces tests durent entre quatre et six jours, et coûtent entre 130 et 340 euros. Mais où donc est passée la confiance ?
Mesdames et messieurs, vous êtes prévenus : la personne qui doute de la fidélité de son conjoint peut désormais s’en assurer par des preuves scientifiques…Ces tests ADN à usage privé ne sont pas illégaux au Mexique. En France, nous sommes à l’abri car la recherche de l’ADN est refusée par la Justice dans des délits d’adultère encore à ce jour.
encore heureux!