Les obésités sont différentes entre homme et femme. On parle aussi d’obésité gynoïde et d’obésité androïde.L’obésité de la femme, ou obésité gynoïde est cette surcharge graisseuse qui touche les fesses, les cuisses, les hanches. Cette particularité est liée à la présence de récepteurs hormonaux sur les adipocytes (les cellules graisseuses) de cette région du corps.
A l’origine, la nature a prévu ces récepteurs pour stocker la graisse durant les périodes de grossesse car quand l’alimentation n’était pas aussi facile que maintenant, les mères devaient pouvoir faire des réserves pour produire du lait, et allaiter, sans forcément devoir/pouvoir manger.
L’obésité féminine, l’obésité gynoïde n’augmente pas les maladies cardiovasculaires et c’est un sacré « avantage » par rapport à l’obésité masculine.
En revanche, la cellulite est beaucoup plus difficile à perdre chez la femme que la graisse abdominale de l’homme. La cellulite est résistante et on en trouve même chez des personnes minces du visage et du haut du corps (voir tous nos articles sur le sujet de la cellulite sur https://www.bien-etre-beaute-forme.com/tag/cellulite/ ).
la cellulite est principalement causée par le tabac, le stress, la pilule, la sédentarité, les grossesses, une mauvaise circulation veineuse, la génétique et surtout une alimentation déséquilibrée.
Une fois de plus, l’alimentation est la cause de beaucoup de graisse et de cellulite. On dit que si l’on mange trop on fait de la graisse et que si l’on mange mal on fait de la cellulite.
L’obésité masculine ou obésité androïde est un problème de risque sérieux de santé.
Elle touche surtout le haut du corps et en particulier l’abdomen. Attention car les femmes peuvent aussi en développer une. La mesure de ce type d’obésité se fait par la mesure du tour de taille. C’est un des principaux facteurs de risque des maladies cardiovasculaires. Avoir un gros ventre augmente le risque d’infarctus ou d’AVC autant que d’avoir du cholestérol ou trop de tension artérielle ! Un régime est toujours assez efficace contre cette obésité androïde.